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Bonjour,
Souhaitant m’installer en culture PPAM quelques questions de réglementation demeurent encore et toujours.
Pour un usage alimentaire de tisane, je sais que la vente autorise les 148 libérées. Cette réglementation s’applique-t-elle uniquement dans le cas des tisanes ou également des sels aromatisés, huiles, sirops… ?Pour les huiles essentielles/hydrolats que je souhaiterais commercialiser en usage alimentaire, rentre-t-on sous le coup des 148 libérées ou de la liste des « arômes alimentaires » de l’UE ??
Quelqu’un pourrait-il me faire part de son expérience de démarche quant à la déclaration en complément alimentaire ? Est-ce si long et contraignant que cela ? Est-ce réellement gratuit ?
Sous quelle réglementation peut-on faire passer un macérat huileux ?! L’aspect « alimentaire » me pose question compte tenu de l’usage plutôt externe de cette formulation.
Merci beaucoup de votre aide !
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Bonjour Juliane,
aujourd’hui pour sortir des méandres du labyrinthe des règlementations concernant les PPAM en vente directe, le syndicat SIMPLES a publié un livret, l’as-tu consulté ? Il es disponible en ligne ou sous format papier sur commande. Pour approfondir et personnaliser les réponses il existe également des formations courtes sur le sujet.
Quand on parle des 148 plantes libérées, elles ont été libérée de la pharmacopée et DONC ne concerne que la forme considérée par la pharmacopée : plante sèche en l’état.
Concernant les compléments alimentaire la démarche est entièrement gratuite, le plus fastidieux est de réunir les pièces nécessaires (je ne l’ai pas fait personnellement).
Je pense que tu trouveras beaucoup de réponses dans le guide rédigé par Marine Valéry publié par SIMPLES : https://www.syndicat-simples.org/la-reglementation-des-ppam/guide-reglementation-ppam/ -
Bonjour
Je m’installe bientôt, herberie, compléments alimentaires…
Ai je le droit d’apposer en anglais :
Apothecary& co si je ne suis pas pharmacienne ?
Je pense que oui mais je ne voudrais pas faire d’erreur.
Merci infiniment.
Ps: on est bien d’accord que je n’ai pas le droit à Herboristerie ?Karine
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Bonjour,
Une association dont je suis membre envisage de cultiver des PPAM dans un jardin partagé. A-t-elle le droit, et à quelles conditions, de distribuer des tisanes à ses adhérents ? et, au public ? (sans les vendre, il s’agit de dons gratuits dans des fêtes ou autres rencontres). J’ai vu l’idée de la liste des 148 plantes « libres », est-ce suffisant de s’y cantonner ?
Merci de vos conseils
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